Chaque 22 novembre, le monde célèbre la Journée internationale de la Terre, une occasion de rappeler l’importance cruciale de notre planète pour la survie de l’humanité. Cette année, cette journée revêt une signification particulière alors que la Terre fait face à des défis environnementaux sans précédent.
La Terre nourricière, comme le souligne l’expression largement utilisée à travers le monde, est le pilier fondamental de la vie sur notre planète. Cependant, la nature souffre et envoie des signaux alarmants que nous ne pouvons plus ignorer. Les océans se trouvent envahis par les déchets plastiques et subissent une acidification croissante. Parallèlement, les phénomènes météorologiques extrêmes tels que les vagues de chaleur, les incendies de forêt et les inondations affectent des millions de personnes à travers le monde.
Les perturbations environnementales, résultant des activités humaines telles que la déforestation, le changement d’affectation des terres, ou encore le commerce illégal des espèces sauvages, sont autant de facteurs qui accélèrent la détérioration de notre environnement. Dans le cadre de la Décennie des Nations Unies pour la restauration des écosystèmes, il est impératif de reconnaître l’urgence d’agir.
En cette Journée internationale de la Terre nourricière, il est crucial de souligner la nécessité d’une transition vers une économie plus durable, bénéfique tant pour l’humanité que pour la planète. La restauration de nos écosystèmes endommagés est essentielle pour mettre fin à la pauvreté, lutter contre le changement climatique et prévenir une extinction massive.
L’ACEDH, en partenariat avec Kilalopress, souligne l’urgence de protéger la Terre contre les menaces grandissantes posées par des entreprises et des multinationales prêtes à causer des catastrophes écologiques et humanitaires au mépris des lois et de la sauvegarde sociale et climatique. Il est impératif de mettre fin à ce comportement destructeur et de protéger notre planète.
L’ACEDH et Kilalopress appellent les autorités congolaises, en particulier le Parlement congolais, à adopter une nouvelle législation foncière pour garantir un accès juste et équitable à la terre. Il est crucial de protéger les droits fonciers locaux des peuples autochtones, des femmes, des jeunes et des communautés locales, tout en tenant compte des enjeux émergents liés à l’urgence climatique et aux nouvelles technologies.
En cette Journée internationale de la Terre, il est impératif que nous prenions conscience de notre responsabilité envers la planète et que nous agissions de manière responsable pour assurer sa préservation pour les générations futures. Rejoignons le mouvement mondial pour sauver notre planète et assurer un avenir durable pour tous.
Par la rédaction