La campagne électorale pour l’élection présidentielle du 20 décembre en République démocratique du Congo bat son plein, mettant en avant les différents candidats et leurs stratégies. Félix-Antoine Tshisekedi, Moïse Katumbi et Delly Sesanga ont déjà commencé à affronter les électeurs dans les provinces du Kongo-central, de l’ex-province orientale et de l’ex-province du Bandundu. Martin Fayulu, quant à lui, a lancé sa campagne dans l’ex-province du Bandundu avant de regagner Kinshasa. Adolphe Muzito a débuté sa campagne par une conférence de presse, tandis que Noël Tshiani a commencé sa tournée dans l’ex-Bandundu.
La Commission électorale nationale indépendante (CENI) a enregistré un total de 26 candidatures pour l’élection présidentielle. La campagne électorale se termine le 18 décembre, et les candidats multiplient les meetings et les déplacements dans différentes villes et cités du pays.
La bataille pour la présidence en RDC est donc à son apogée, avec une diversité de candidats et une compétition féroce pour conquérir les électeurs. Les stratégies de campagne varient, certains candidats optant pour des tournées à travers les provinces, tandis que d’autres privilégient les conférences de presse. Cette diversité témoigne de l’importance de cette élection pour l’avenir politique du pays. Avec 26 candidatures enregistrées, la compétition s’annonce intense et la mobilisation des électeurs est cruciale pour chaque candidat.
La population congolaise est ainsi au cœur de cette bataille électorale, avec les candidats multipliant les rencontres et les discours pour convaincre les électeurs. Les enjeux de cette élection présidentielle sont considérables, et les candidats rivalisent d’efforts pour présenter leurs programmes et gagner la confiance des citoyens. À l’approche du 20 décembre, l’effervescence politique ne cesse de croître, et l’issue de cette élection aura un impact majeur sur l’avenir de la République démocratique du Congo.
La redaction